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Retour sur crack : Vourasie

Le 25/12/2016 à 17h40

Frère utérine du légendaire OURASI, le fille de FAKIR DU VIVIER aura elle aussi marqué les esprits

Si elle aura mis du temps à totalement se déclencher, VOURASIE aura bel et bien fait honneur à on illustre aîné ! Entraînée par L Verroken et menée par B Oger, elle est née en 1987 et commencera pas se mettre gentiment en évidence dans les prix de série, avant de passer la vitesse supérieure en 1991, prenant alors la quatrième place dans le Critérium des 4 Ans, elle qui ne s’était avant cela pas vraiment frottée à ce qui se faisait de mieux au sein de sa promotion. Devancée alors par le champion KESACO PHEDO, elle fit ensuite preuve d’une belle constance et montrait une aptitude parfaite aux parcours de tenue de la Grande Piste de Vincennes. Ascension progressive donc, son été 1992 avait été très bon, avec notamment des secondes places dans le prix Jockey et dans Critérium des 5 Ans, derrière VIVIER DE MONTFORT. Dès lors, elle prenait place parmi l’élite du trot français et pouvait enfin se mettre en évidence dans les très belles compétition. En 1993, elle s’imposera dans le prix de Paris, une course qu’elle gagnera également lors des deux éditions suivantes et où elle faisait parler sa tenue, le prix de l’Atlantique à Enghien, le prix d’Eté. Cette année là, elle se classera également troisième du prix d’Amérqiue. L’année 1994 lui permettait également de montrer qu’elle savait également briller sur les parcours de vitesse, remportant le prix de France, ni plus ni moins, course remportée après une seconde place dans le prix d’Amérique derrière SEA COVE, auteur « d’un truc » cette année là. Gagnante également d’un second prix de l’Atlantique et du prix d’Europe à Enghien, cette année de 7 ans fut une réussite. De réussite il en était également question l’année suivante, se classant de nouveau seconde dans l’Amérique, derrière INA SCOT et signant la passe de trois dans le prix de Paris et se classant seconde du prix de France. Sa carrière se terminera par une seconde place dans le prix de l’Union Européenne 1996, derrière le champion DEFI D’AUNOU. Bilan final de 70 courses pour 24 succès et 30 podiums, son compte en banque s’élevait alors à 2 249 332 euros pour une jument ayant su parfaitement vieillir. Photo Scoopdyga : BERNARD OGER, son driver - MME GENEVIEVE VERROKEN, épouse de son entraîneur

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Article écrit par Sylvain Kerichard

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